Kalise A. Grimwald En ville depuis le : 12/04/2013 J'ai posté : 22 Puissance : 0 Localisation : L'institut du bien-être
 |  Sujet: Présentation de Kalise A. Grimwald Ven 12 Avr - 20:41 | |
|
 Kalise A. Grimwald « feat. Kristen Stewart » AGE ৩ 18 ans ; LIEU DE NAISSANCE ৩ Brocéliande en France ; ÉTUDES/PROFESSION ৩ Étudiante en médecine; ORIENTATION SEXUELLE ৩ Hétéro ; RACE ৩ Fée ; SITUATION PERSONNELLE ৩ Célibataire. Curieuse ▬Bienveillante▬ Amoureuse de la nature ▬ Sensible▬ Impressionnable▬ Solitaire ❝ Tout sur le personnage. ❞ Je suis née à Brocéliande, en 1995. Je dois avouer que j'ai vécut une enfance exceptionnellement heureuse. Ma mère avait une petite maison en plein cœur de la forêt. La vie y était tout bonnement parfaite. J'ignorais cependant à quel point j'étais chanceuse, puisque je ne connaissais rien d'autre.
Nous vivions en adéquation avec la nature, toujours les pieds dans l'herbe, à voleter entre les arbres, à rire dans les petits lacs, à se nourrir de fruits frais, à danser toutes les deux. Je ne connaissais rien qui fût danger ou inquiétude. J'étais une enfant qui riait du jour au matin, très attentive à l'apprentissage que ma mère m'offrait de la nature. Nous vivions une partie de la forêt qu'aucun humain ne pouvait traverser, parce que les pouvoirs de ma mère et de ce lieu même, nous protégeaient.
J'étais pourtant très curieuse concernant le monde extérieur. Et même si je me sentais épanouie de cette vie, j'avais le sentiment qu'il me manquait quelque chose. Je ne sais pas, comme une perspective d'avenir. Ma mère, elle, me parlait d'Avalon, des fées et des druides. Elle me disait que nous étions les dernières descendantes d'une longue lignée, et que nos vies étaient précieuses... Elle me parlait d'histoires d'un autre temps, ce qui me passionnait. Mais il y était question de chevaliers conquérants, de princesse et de combats. Or, hormis ma mère, je n'avais jamais vu personne d'autre. Quand je lui demandais pourquoi, elle disait que j'étais trop jeune pour m'approcher des humains et que parmi eux, il y avait d'autres créatures très dangereuses que nous devions éviter.
Je me rangeais à son avis, parce que ma mère savait tout et avait toujours raison, j'en été persuadée. Cependant, alors que j'avais dix ans, j'entendis la présence d'individus, non loin des frontières magiques qui nous protégeaient. Ma première réaction fut de partir, c'était toujours le conseil de mère. Mais j'étais tellement curieuse... Alors, j'avançais, observatrice, et découvris un groupe de jeunes humains qui plaisantaient entre eux. Ils étaient magnifiques. Ils riaient et parlaient vite, se taquinaient, se pousser. Il y avait des garçons et des jeunes filles et je fus prise d'un désir irrépressible de les connaitre. Bien entendu, je me retins de me présenter à eux, mais chaque jour, j'allais au même endroit, ou plus loin même, pour pouvoir voir des humains, lorsque ma mère était trop occupée pour s'en rendre compte.
Je ne me rendis pas compte d'à quel point je manquais de discrétion et que mes pérégrinations allaient signer la fin de notre vie paisible... Car, même si j'étais assez discrète pour les humains, je ne l'étais pas suffisamment pour d'autres créatures... Un jour que j'espionnais encore les humains, je sentis une présence, une présence différente. Je tâchais de chasser cette désagréable impression mais une poigne ferme se referma autour de mon poignet. Je me retournais. Un homme très grand, à la peau très pâle et aux yeux brillant étrangement me regardait, comme si j'avais été un délicieux pain d'épice. Je pris peur, voulu me débattre. Ma mère arriva aussitôt, utilisa ses pouvoirs pour l'éloigner. Je sautais dans ses bras. Mais ils étaient plusieurs, nombreux... Trop nombreux, et nous étions trop loin de la protection qu'offrait la forêt. Ma mère me cria de courir, aussi loin et aussi vite que je le pourrais. J'obéissais, morte de peur néanmoins. Je me mis même à voler pour aller plus vite. J'entendais pourtant le combat derrière et, en me retournant, je vis qu'ils étaient dix ... Ma mère n'avait aucune chance contre ces êtres... Je n'eus pas le temps d'aller très loin, que l'un d'eux me rattrapa. Ils étaient si rapide, ils filaient plus vite qu'aucun animal dans les bois... Terrifiée, je hurlais, il m'attrapa et me serra contre lui, murant mes lèvres pour m'entrainer à une vitesse vertigineuse dans le sens opposé.
Ainsi commença une autre vie. Je fus prisonnière dans un vieux manoir, non loin de Brocéliande, où vivaient mes ennemis. J'étais dans un cachot, jour et nuit. Je compris vite que je ne reverrais jamais ma mère, qui était morte en tentant de me protéger. Et les vampires vinrent se servir dans mon sang. Ils disaient qu'il était délicieux et qu'il leur donnait une pêche incroyable. Ses morsures étaient horribles pour moi. Ça faisait mal. Et ensuite, j'étais totalement épuisée. L'un d'entre eux, Alaric, m'expliqua que mon corps de fée luttait contre le venin de vampire. Voilà pourquoi chaque morsure me prenait autant d'énergie. Heureusement, mes ennemis ne pouvaient pas me boire souvent. Lorsqu'ils étaient trop nombreux à le faire, ils se plaignaient que mon sang était moins bon, appauvri. Le seul qui ne me goûta pas fut Alaric. Au contraire des autres, il appréciait juste de regarder mes ailes de temps en temps. Et je vins à lui faire confiance. Il passait beaucoup de temps avec moi, m'apprenait des choses, plaisantais parfois, me racontait des histoires de son monde. Au départ méfiante, je me surpris à m'endormir contre le torse même d'Alaric. Il était froid mais il était le seul asile de chaleur de ma vie.
Le temps passa et comme je me montrais obéissante, j'eus le droit à accéder à plusieurs pièces du manoir. Ce qui me permit notamment de découvrir la télévision. Des jeunes humains comme je les avais épiés il y a longtemps se mouvaient dans l'écran. J'étais fascinée. Alaric riait beaucoup en me voyant regarder la télé. Les autres poussaient des soupir et me renvoyaient parfois dans ma chambre, non sans, parfois, me tirer par une main et planter leurs crocs quelques secondes dans ma gorge. Je savais que le sommeil ne serait alors pas difficile à trouver.
Sans Alaric, la vie aurait été un cauchemar, mais il l'ensoleillait par sa douceur et sa complicité. Je l'aimais comme un père. Quand les autres devenaient dangereux, j'allais me réfugier près de lui. Le temps passant, les vampires du manoir s'étaient tellement habitués au goût de mon sang et à mon odeur qu'ils ne faisaient plus attention à moi. J'étais comme une espèce de petit animal de compagnie sur lequel ils se nourrissaient parfois.
Sauf qu'à l'aube de mes dix sept ans, je vis leur regard changer. Les hommes vampires s'arrêtaient parfois de discuter quand j'arrivais, où ils m'observaient en coin quand je passais dans la maison pour faire mes tâches ménagères. Je n'étais pas à l'aise, car ils ne me regardaient pas tout à fait de la même façon que quand ils avaient soif. Bientôt, il y eut une violente dispute entre eux. Inquiète je demandais à Alaric ce qui les opposait. Mon protecteur fut mal à l'aise : " Il vaudrait mieux que tu te mettre à l'écart quelques temps Kalise. " avait-il rétorqué embarrassé. "Pourquoi ? avais-je insisté. J'ai fais quelque chose de mal ? ". "Non Kalise, mais tu deviens une jolie jeune fille maintenant. Et ... ils se demandent lequel d'entre eux pourra te posséder en premier."
Il me fallut un certain temps pour comprendre ce qu'Alaric avait voulut dire par là. Mais je n'étais pas non plus complètement naïve, la télé m'avait apprit beaucoup de choses. J'étais terrifiée à l'idée de ce que cette phrase allait signifier pour mon avenir. Qu'on boive mon sang avait été une habitude, désagréable certes, mais c'était une proximité forcée concernant laquelle je m'étais faite une raison. L'idée qu'on mette les mains sur moi d'une autre façon m'était intolérable. Le même jour, après avoir longuement réfléchi, je retournais voir Alaric. J'étais terrifiée et je n'eus pas besoin de parler pour qu'il comprenne. Lui aussi avait réfléchit de son côté. Il m'expliqua qu'il ne voyait qu'une seule solution pour me protéger, il était temps qu'il organise ma fuite. C'était la preuve de son affection pour moi, c'était prendre un gros risque. Je le serrais longuement dans mes bras, et lui demandais s'il ne pouvait pas venir avec moi. Sauf que mon évasion ne serait pas facile et elle impliquait qu'il fasse diversion. Je compris qu'il risquerait sa vie pour moi. Comme ma mère... Je tentais de le dissuader, mais il rétorqua qu'il était temps que je sois libre. De toute façon, j'étais vouée à la mort si je restais. Les vampires avaient finalement décidé de m'offrir en cadeau à un spécimen âgé et puissant de leur espèce, qui ne manquerait pas de me tuer après m'avoir bue et abusée.
Le jour vint, je fis mes adieux à Alaric, le suppliant de me suivre une dernière fois. Il refusa gentiment, il souriait, mais je lisais dans ses yeux la peine que cela lui provoquait. Ce fut un déchirement, mais mon désir de vivre dépassait tout le reste. Je suivis son plan à la lettre, courant sur un kilomètre, volant sur l'autre quand je fus sous le couvert des arbres, puis gagnant la nationale à pied, je fis disparaitre mes ailes et marchais le long de la route. C'est arrivée là que je me rendis compte enfin de ce qui m'arrivait. Je n'avais pas pu marcher sous la lumière du jour depuis tellement longtemps. Je n'avais pas vu le ciel et la nature depuis tellement longtemps ! C'était comme une explosion de plaisir !
Je voyageais longtemps, entre forêt et ville, ne sachant pas laquelle aborder. Alaric m'avait donné une directive simple pour la suite : ne jamais m'arrêter. Je devais mettre le plus de distance entre moi et les vampires qui finiraient par se lasser de me rechercher. Quand j'étais épuisée, je me transformais en fée miniature, et allais me réfugier dans un coin, aussi étroit que possible afin de dormir. Ensuite, je reprenais ma route. Alaric m'avait dit d'aller aussi loin que possible, quitte à changer de pays. L'idée de m'inviter dans avion qui s'embarquait pour les États-Unis n'était pas préméditée mais me sembla logique sur le coup. Arrivée là-bas, je ne parlais pas la langue et ne connaissais rien de ce monde agité. Je me laissais donc guider par mon instinct, et finalement, atterri dans la ville de Moonlight falls, ville qui attire apparemment toutes les créatures surnaturelles. J'étais perdue et je me dirigeais à l'hôpital, où aurais-je pu aller de toute façon ?
Un médecin compatissant comprit vite ce que j'étais. Les créatures surnaturelles étaient son quotidien. Je lui appris mon histoire, il promit de ne pas me dénoncer à un quelconque mouvement social (puisque je n'étais pas majeure) et me trouva un petit appartement. En échange, je devins son apprenti, et en profitais pour apprendre la langue. Lorsque j'eus dix huit ans quelques mois après mon arrivée, il m'aida à me créer des papiers, et je commençais des études de médecines en apprentissage.
Bien sûr, j'ai toujours peur des vampires, et quelque chose au fond de moi, ne rêve que d'une chose, retourner vivre au cœur d'une forêt comme Brocéliande. Seulement voilà, je suis prisonnière de Moonlight falls et néanmoins protégée par elle ... alors que puis-je demander de plus ?
PSEUDO ৩ Jillie ; AGE ৩ 24 ans ; FRÉQUENCE DE CONNEXION ৩ Jsais pas ; COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ৩ Au hasard sur le net, je ne sais plus désolée ; DES CHOSES A DIRE POUR L’AMÉLIORER ৩ L'améliorer ? Oh sûrement pas. Je suis encore carrément sur le cul, pardonnez-moi l'expression, d'avoir découvert ce forum. L'univers vient de s'ouvrir sous mes pieds, il existe des fans des sims qui ont ressentis la même chose que moi en jouant à Super pouvoirs et même en jouant aux sims en général. Votre contexte : j'ai déjà eu une idée semblable, sauf que la votre est complète, meilleure, vous avez su mettre les mots sur des idées qui ne germaient décidément pas chez moi ! La ville de MoonLight falls est inspirante je trouve, pour une fois les créateurs des sims ont vraiment fait du bon boulot. Et là, par hasard, je découvre un rpg, fantastique, mais alors parfait !!! Géniallissime !!! Incroyable !!! C'est pas des mots creux... Déjà votre codage est impeccable. Votre design est mystérieux et tout à la fois plein de grâce. Vous avez su marier à merveille l'univers des sims avec le rpg. S'inspirer des sims, et leur laisser cette place prépondérante dans les images pour les laisser donner l'ambiance ... c'est vraiment superbe. D'autant que vous n'êtes pas sans une bonne part d'imagination, l'idée des pouvoirs qui grandissent à mesure des rp's, j'adooore ! Enfin bref, il y aurait tellement à dire mais je dois écrire ma présa plutôt lol. Juste que je pense déjà aimer les créateurs de ce forum, en fait, je suis amoureuse voilà. looool. Merci d'avoir eu le courage et l'imagination pour créer une telle merveille ! ; CRÉDIT IMAGE ৩ écrire ici ; MOT DE LA FIN ৩ Bah je crois que j'ai déjà tout dit. Si je me remet à décrire mon admiration tout le monde va encore s'endormir. J'aime les fondateurs de ce forum !!! Je suis difficile en matière de forum, là je suis comblée ou presque, parce qu'il faut encore que je joue parmi vous tout de même.  Petite demande >>> Un admin aurait-il l'extrême amabilité de changer mon nom de famille par " Grimwald " ? Je suis vraiment désolée, je sais que c'est pénible, mais j'ai eu cette idée qui me convient mieux, après inscription. Merci beaucoup d'avance :) - Code:
-
[b]KRISTEN STEWART [color=#804040]ϖ[/color][/b] [i]Kalise A. Grimwald[/i]
Dernière édition par Kalise A. Grimwald le Sam 13 Avr - 9:52, édité 1 fois |
|
